Selon Echo Bio, le vrac
attire les consommateurs car il permet des prix et des emballages réduits mais aussi le libre-service. Grâce au vrac, l’acheteur peut en effet goûter plus facilement des
nouveaux produits et acheter la quantité voulue - pas plus, pas moins - ce qui permet de diminuer les éventuelles pertes à la maison.
Une enquête menée en 2011 et 2012
par le cabinet de conseil BioBee confirme que les motivations d’achat au rayon vrac sont d’abord :
- l’acte écologique que ce mode de consommation représente
- les économies qui résultent de ce mode de consommation
- l’opportunité de découverte qu’il représente grâce aux petites quantités.
Concernant les économies, une étude de l’ADEME le dit
clairement, le prix de vente est moindre : "Les produits en vrac
sont effectivement moins chers pour les consommateurs – entre 10% et 45% de
réduction constatée". Pour 3J Développement, le vrac permettrait une économie sur le contenu de 15 à 20% et une économie sur l’emballage
réutilisable jusqu’à 20 fois.
Enfin, l’étude BeeBio explique que les critères qui ont
le plus d’influence sur la satisfaction du client sont le prix, le choix et
l’état d’hygiène et de propreté du rayon.
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| L'image à combattre du rayon vrac |
Les pistes d’amélioration suggérées par les
consommateurs concernent les informations sur le produit, son mode d’emploi et
la gestion du rayon. Un responsable de rayon vrac de chez Biocoop entend de son
côté les clients se plaindre des produits qui tombent trop vite et remplissent
trop le sachet.
Ainsi si les consommateurs sont de plus en plus nombreux à fidéliser
leur consommation de vrac, les procédés de distributions peuvent être optimisés
pour attirer le plus grand nombre.
